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011285 011285 la larme de poison cachée entre les gouttes. articles première page articles précédents articles suivants dernière page communiquer catégories aucune catégorie. archives mars 2011 ( 5 ) février 2011 ( 2 ) juillet 2010 ( 2 ) janvier 2010 ( 2 ) décembre 2009 ( 5 ) novembre 2009 ( 2 ) octobre 2009 ( 4 ) septembre 2009 ( 3 ) août 2009 ( 3 ) juillet 2009 ( 2 ) juin 2009 ( 3 ) rechercher dans ce blog mots-clés blog créé avec cowblog liens aucun lien. je ne suis personne. vendredi 19 juin 2009 à 11:25 l'éléphant dans un magasin de porcelaine. appelez-moi m. 6 messages soyez vous même, ne faites pas illusion. vendredi 19 juin 2009 à 11:35 a 13h16. pendant que j'attendais le bus à l'arrêt, un homme a attiré mon attention, il était entièrement vêtu de noir et avait les cheveux longs, visage type asiatique, vernis à ongle, un oeil noir une lentille bleu, khôl sous les yeux, dessin au coin de l'oeil, un gothique. je n'ai jamais apprécié dévisager les gens différents comme on voit certaines personnes le faire, car pour moi il n'y a pas de différences, il ne m'est apparu qu'une fraction de seconde mais j'ai pu mémoriser tout ces détails, parce qu'en faite il m'intriguait. il est monté dans le bus et je me souviens qu'une fille avec des lunettes rouges le dévisageait, puis un homme, puis une femme, puis trois hommes et ainsi de suite. je ne sais plus sedont j'étais en train de penser à cet instant précis, mais k. à côté de moi m'a dit qu'il lui faisait peur et j'ai pensé <où est le problème? qu'est-ce qui gène?> et je n'ai pas compris la gène qu'éprouvaient ces gens, alors je les ai regardés un à un, et j'ai ressenti une certaine admiration envers ce garçon, parce que parmi tout ces jeans, ces t-shirts et ces tonnes de gels, le garçon était vraiment différent, lui il n'était pas un clone, et j'ai enfin compris que c'était cela la gène. <comme tu n'es pas comme moi, je ne t'aime pas.> disaient leurs regards. 6 messages le coeur balafré de rage. vendredi 19 juin 2009 à 13:03 jeudi 18 juin. mon frère rentre des cours avec sa fiche de passage au lycée. refusé en lycée général, prix d'office en lycée professionel. frère déçu, veut faire appel, mère est un peu réticente mais accepte, c'est son avenir après tout, père s'énerve totalement, et moi avec. j'ai eu envie de lui cracher à la gueule et de lui sortir un puissant <ta gueule. connard.> parce que c'est une chose qu'il ne soit pas d'accord avec l'orientation de mon frère & son entrée en lycée professionel, lui aussi aurait voulu aller en général, lui aussi il est déçu, alors quand j'ai entendu mon père lui dire <j'en étais sûr, t'es nul, t'es bon à rien.> d'abord je me suis figée parce que je ne savais pas que ça pouvait encore exister des parents qui rabaissent leurs enfants comme ça, ensuite j'ai eu envie de lui fouttre un coup de poing sur la figure. il a ajouté ensuite <vous voyez hein, quel honte, et j'en étais sûr depuis le début, je suis satisfait de ma victoire.> là ça a été le sumum et même quand je relis ce que je suis en train d'écrire j'ai vraiment conscience que mon père est un connard. ca m'a insupporté, et comme je suis de nature à défendre mon frère, j'ai répliqué <tant mieux si tu es satisfait de ta victoire, moi tu vois, la chose qui m'importe le plus ça n'est pas une quelconque victoire, mais sa réussite.> il a continué à ruminer et il s'est monté à dos toute la famille. quant à mon frère il est parti s'enfermer dans sa chambre, il en avait déjà marre que mon père ait passé l'année à lui dire ça, mais là il était définitivement à bout. j'ai vraiment haïs mon père ce jour-là. puis mon frère est sorti une heure après et il a sourit, fait comme s'il ne souffrait pas. et c'était admirable, mais il m'a fait pensé à moi, parce que dans cette famille, jamais personne ne sait quand est-ce que l'autre souffre, alors on se cache pour pleurer et on souffre en silence. 4 messages a pisser contre le vent, on mouille sa chemise. mercredi 1er juillet 2009 à 12:38 non je ne vais pas faire un article parlant de la mort de mickael jackson déjà pour deux raisons: 1° je n'appréciais pas particulièrement mickael jackson. 2° c'est bon, on a tous compris qu'il était mort. il y a juste une chose qui m'a totalement révoltée; jordan chandler, l'enfant qui avait accusé m.j. d'attouchements sexuels en 1993 aurait avoué que tout cela n'avait été qu'un coup monté, < je n'ai jamais voulu faire de mal à michael jackson mais mon père m'a contraint à raconter ces mensonges. je ne supporte plus de mentir. michael jackson ne m'a jamais rien fait, je n'ai raconté cela que pour enrichir mon père. désormais je ne plus dire à michael que je suis désolé et lui demander pardon. je ne saurai jamais si il me pardonne> . allez avoue, t'attendais que ça qu'il meurt pour pouvoir avouer la vérité. 2 messages peut être attachons-nous trop d'importance à ceux qui de leur côté, ne nous accorde que rarement une pensée. vendredi 17 juillet 2009 à 11:06 la vie est faite d'opportunités qu'on a le choix de saisir, ou de refuser. mais il faut bien réfléchir, car elles ne se présentent qu'une seule fois. il a réssurgit comme ça, un soir, la tête sur l'oreiller. il y avait tellement longtemps que je n'avais plus penser à lui, tellement longtemps que je l'avais oublié, alors pourquoi mon subconscient l'a-t-il remit sur le tapis d'un seul coup? cela restera un mystère. mais il a fait remonter les souvenirs à la surface, on s'entendait si bien tout les deux avant qu'il ne démménage, il n'avait prévenu personne, mais au fond je sais que depuis le départ il savait qu'il partirait, seulement il ne l'a dit à personne, même pas à moi, pourtant ça aurait changé tellement de choses qu'il me prévienne, je comprends maintenant pourquoi il y avait autant d'amertume dans sa voix le dernier jour de classe, se <bonnes vacances m.> qui voulait tout dire, qui savait déjà que l'année prochaine, on ne se reverrait pas. pourquoi n'avait-il rien dit? parce que c'a aurait été trop dur pour lui? ou peut être parce que nous n'avions pas d'importance pour lui? ce jour-là j'avais voulu le serrer dans mes bras, une petite voix au fond de moi se doutait probablement que s'était la dernière fois que je le voyais, mais je n'ai rien fait. et pourtant, je savais qu'il m'aimait. puis un jour, deux ans après, je l'ai revu, au rap, je l'ai reconnu instentanément, il avait tellement grandit, j'ai voulus aller le voir, mais j'avais si peur qu'il ne me reconnaisse pas, puis à l'époque il y avait y., mon copain, alors je n'y suis pas allé pour lui, je l'ai tant regretté, surtout quand à l'instant où je renonçais à aller lui parler, il m'avait reconnu et avait plongé ses yeux sur moi. j'ai tourné la tête. j'ai tourné les talons. et je suis partie. quelle idiote. je l'ai revu encore deux mois plus tard, nous sommes tombés l'un sur l'autre face à face, mais je n'ai pu prononcer que son prénom avant de me faire tirer le bras pas s. car nous étions poursuivies par les flics, à cause de nos copain, encore une fois. parfois je me dis que je suis bête de repenser à tout ça, je repense souvent aux personnes avec lesquelles j'étais très amie, aux personnes qui ont touchés mon coeur, mais ça me fait mal de savoir qu'elles m'ont probablement oubliées, parce que tu te rends compte que tu es la seule pour qui cette amitié a été importante. une fois a. qui avait été ma meilleure amie depuis l'enfance a répondu à une question sur facebook; <est-ce que m. a changé votre vie?> & sa réponse fut non. non. ce mot a résonné dans ma tête tant de fois, mon coeur saigne encore aujourd'hui quand j'y pense, parce que ma vie à moi, elle l'a changé, elle m'a fait comprendre le mot <dépendence>, car d'elle je l'étais. nous avons tout partagé ensemble, rit ensemble, été ensemble dans la même classe de la maternelle au collège, pleuré ensemble, tombé ensemble... et elle a dit non. « on entend toujours ce que l’on voulait éviter d’entendre, mais